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Stimulants sexuels

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Vous cherchez à booster vos performances à la salle de sport tout en améliorant votre vitalité sexuelle ? Ces suppléments ont été rigoureusement choisis pour leur qualité et leur efficacité, conformément aux études scientifiques les plus récentes. En savoir plus

Qu'est-ce qu'un stimulant sexuel ?

Un stimulant sexuel, aussi appelé aphrodisiaque, est un produit qui a pour but d’améliorer ou d’activer le désir, l'excitation ou les performances sexuelles. Ces stimulants peuvent se présenter sous plusieurs formes : plantes, aliments, huiles essentielles ou encore compléments alimentaires. Ainsi, au-delà de leur rôle de booster de vitalité sexuelle, certaines de ces substances ont également des propriétés bénéfiques en matière de musculation et de fitness. Prenons l'exemple de la testostérone, l'hormone androgène-anabolisante la plus puissante sécrétée naturellement, pouvant améliorer la croissance musculaire et la force musculaire (1).

Est-ce qu'un booster de testostérone peut aider à la prise de muscle ?

Oui, la testostérone est directement liée à la prise de muscle. Cette hormone masculine, produite naturellement par l'organisme, joue un rôle majeur dans l'anabolisme musculaire, c'est-à-dire la construction de nouvelles fibres musculaires. Elle participe également à l'amélioration de l'endurance et de la récupération après l'effort (1). Autrement dit, un taux de testostérone élevé favorise la prise de masse musculaire. C'est pourquoi certains compléments alimentaires destinés aux sportifs de haut niveau contiennent des boosters de testostérone. Mais attention à bien distinguer les boosters naturels de testostérone des stéroides anabolisants pouvant être dangereux pour votre santé et hygiène (2).

(1) Vingren JL, Kraemer WJ, Ratamess NA, et al. Testosterone Physiology in Resistance Exercise and Training. Sports Med. 2010;40 (12):1037-1053.

(2) Nieschlag E, Vorona E. MECHANISMS IN ENDOCRINOLOGY: Medical consequences of doping with anabolic androgenic steroids: effects on reproductive functions. Eur J Endocrinol. 2015;173(2):R47-R58.